Monsieur têtu.
30.6.12
29.6.12
"Caca printanier" (Herbier)
L'Herbier. ♪
Dessin: "Caca printanier" (Titre: Gauthier D.)
Technique: Aquarelle, crayons de couleurs, cuter, boutons, fils de coton rose saumon, ficelle, épingle et aiguille, agrafes, pastelle grasse, crayon HB.
1h35 du matin, je découvre ce court métrage:
THE CELLO (Le violoncelle)
Film court-moyen métrage / Comédie dramatique (2008 france). Durée : 20 mn
Réalisé par Erik Cimon
Scénario : Reece Crothers
Photo : Ray Dumas
Musique : Todor Kobakov
Avec : Natalie Brown (Claude), Aidan Greene (William), Linda Griffiths (la mère)Les parents de William l’emmènent voir un concert et lui demandent de choisir un instrument. Il tombe immédiatement amoureux de la jeune violoncelliste et choisit alors le violoncelle. La jeune femme lui donne des cours et il progresse rapidement. Un jour, il la voit embrasser un homme...
26.6.12
25.6.12
Tintinnabuler
Dessins: Deux elfes, Un mâle et Une Femelle. (Des erreurs auraient pu être évitées concernant l'aspect trop pointu du coude gauche, la couronne, et l'oeil clignant donnant la fâcheuse impression de couler.)
Vieux Cul-De-Lampe
Croquis: Etude anatomique d'un homme musclé de profil, poignets liées dans le dos (regard fier bien que en soumission) + Iroquoise. / Etude anatomique d'une femme balançant sa tête en arrière, bien en chaire.
23.6.12
Illustration d'un poème de Baudelaire
Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle
Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle,
Femme impure ! L'ennui rend ton âme cruelle.
Pour exercer tes dents à ce jeu singulier,
Il te faut chaque jour un coeur au râtelier.
Tes yeux, illuminés ainsi que des boutiques
Et des ifs flamboyants dans les fêtes publiques,
Usent insolemment d'un pouvoir emprunté,
Sans connaître jamais la loi de leur beauté.
Machine aveugle et sourde, en cruautés féconde !
Salutaire instrument, buveur du sang du monde,
Comment n'as-tu pas honte et comment n'as-tu pas
Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas ?
La grandeur de ce mal où tu te crois savante
Ne t'a donc jamais fait reculer d'épouvante,
Quand la nature, grande en ses desseins cachés,
De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés,
- De toi, vil animal, - pour pétrir un génie ?
Ô fangeuse grandeur ! sublime ignominie !
Femme impure ! L'ennui rend ton âme cruelle.
Pour exercer tes dents à ce jeu singulier,
Il te faut chaque jour un coeur au râtelier.
Tes yeux, illuminés ainsi que des boutiques
Et des ifs flamboyants dans les fêtes publiques,
Usent insolemment d'un pouvoir emprunté,
Sans connaître jamais la loi de leur beauté.
Machine aveugle et sourde, en cruautés féconde !
Salutaire instrument, buveur du sang du monde,
Comment n'as-tu pas honte et comment n'as-tu pas
Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas ?
La grandeur de ce mal où tu te crois savante
Ne t'a donc jamais fait reculer d'épouvante,
Quand la nature, grande en ses desseins cachés,
De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés,
- De toi, vil animal, - pour pétrir un génie ?
Ô fangeuse grandeur ! sublime ignominie !
Charles Baudelaire, Spleen & Idéal (1857), Les Fleurs du Mal.
Mes excuse pour la qualité pitoyable de l'image, mon scanner n'ayant pas su retranscrire tous les détailles (comme de nombreuses rides et taches de vieillesse) et toutes les ombres.
Les Aberrations
Dans mon bain j'entends à la radio: une publicité pour un appareil photo... Je reste perplexe.
Shooting: Kigurumi dans les Farandoles (Esplanade de La Defense)
Modèle: Vincent C. Dit Glink.
La Muse Malade
Toutes les monstruosités violent les gestes atroces d'Hortense.
Dessin: Feutres, encre, crayons de couleurs. Novembre 2010
20.6.12
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